jeudi 26 mai 2011

Seigneur, donnez-nous de saints prêtres

Moi, personnellement, je dirais que ce film m’a touché. Pour moi, il est un appel à une grande sainteté.
J’ai été surpris d’entendre l’âge où Jean Paul II est devenu évêque. 38 ans pour un évêque !! C’est vraiment jeune !!
Ça m’a frappé de le voir se coucher sur le sol pour baiser sa terre natale. C’était tout juste après qu’il ait été nommé pape.
Ça m’a aussi frappé quand il a dit publiquement, devant des chefs orthodoxes : « L’Eglise Catholique a péché par omission contre ses frères orthodoxes. »
Il demeure pour moi un modèle, car, avant de prendre une décision, il allait toujours prier dans sa chapelle.
Il demeure aussi un modèle de sainteté pour le clergé. Surtout à l’heure actuelle où on le répète souvent : « Seigneur, donnez-nous de saints prêtres. »

Karl

lundi 23 mai 2011

Donne moi seulement de t’aimer

Ce mardi, à l’aide des paroles d’un chant de louange, nous nous sommes interrogés sur l’impact que peut avoir le regard : le regard des autres sur nous, le regard sur nous-mêmes, le regard de Dieu sur nous ; nous nous sommes aussi demandé quelle était la différence entre une vie avec Dieu et une vie sans Dieu.
A la première interrogation, il est apparu que le regard pouvait faire la différence aussi bien positivement que négativement. Un regard bienveillant sur nous, ou encore sur une situation peut rassurer, encourager, voir égayer tout une journée !!A contrario, un regard culpabilisant, négatif ou dur peut nous paralyser ou nous rendre triste. Il me semble que le seul capable de nous regarder avec la bienveillance et la protection dont nous avons besoin, c’est Jésus. Il nous appartient de lui demander, comme lui, de nous aider à encourager les autres par un regard, mais aussi à avoir un regard plus indulgent sur nous même dans nos moments de faiblesse.

A la seconde interrogation, sur la notion de vie avec ou sans Dieu, certains ont témoigné que dans les moments ou ils s’étaient un peu éloignés de Dieu (difficulté à prier, fatigue,…) ils avaient tous ressenti une différence dans leur comportement, dans leur état interne, et surtout une sensation de manque. Au contraire, dans les moments ou la présence et la communion avec Dieu étaient optimales, nous nous sentions joyeux, confiants et protégés ! A l’écoute des témoignages, j’en ai surtout déduit qu’en réalité il était vraiment nécessaire d’avoir un véritable désir d’aimer Dieu, afin qu’en cas d’éloignement comme pour toute personne que l’on aime nous puissions ressentir le MANQUE, le MANQUE de Jésus, le MANQUE de Dieu. Grâce à cet amour grandissant, il me semble que nous aurons toujours le désir de le chercher, et de le RETROUVER……

En cette route de pentecôte, permets nous Seigneur, comme tes disciples, de demeurez en toi, en nous donnant surtout de t’aimer toujours plus …….Oui Seigneur comme le dit cette chanson que j’aime tant : « Et donne moi, donne moi, donne moi seulement de t’aimer ».

Célia